[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] ▶ [Extrait] Quel est le temps d’écran recommandé ? À partir de quand devient-il néfaste ? Quand il s’agit de leurs enfants, les parents surveillent scrupuleusement le temps consacré aux médias. Mais en tant qu’adultes, nous jouons le rôle de modèle. Qu’en est-il de notre utilisation des médias numériques ? Il va sans dire qu’il est important de surveiller la consommation des médias des enfants. Les médias numériques fascinent et peuvent vite nous happer. Notre vigilance quant à la limite d’âge d’utilisation des médias numériques nous fait parfois perdre de vue un autre aspect important : notre propre utilisation du smartphone etc. ◾Nous vérifions furtivement nos e-mails le week-end ou pendant nos congés. ◾Nous prenons un appel pendant le souper pour avertir l’interlocuteur que nous le rappellerons. ◾Quand les enfants sont au lit, nous allumons Netflix. ◾En vacances, nous postons des photos sur Instagram et envoyons des vidéos par WhatsApp. ◾Au sport, notre smartwatch nous indique si nous avons atteint les objectifs fixés. ◾Et en train, nous passons le temps en jouant sur notre téléphone ou en écoutant des podcasts. Le comportement des parents sert d’exemple aux enfants Il n’y a pas que la vie de nos enfants qui est marquée par les écrans. Notre quotidien d’adulte est rempli de médias et de gadgets numériques. Comme ce fait s’impose à nous comme une évidence bien établie, nous ne le remarquons même plus. ! (...) Pour nos enfants et leur utilisation des médias numériques ! En tant que parents, nous avons un rôle de modèle. 👉 Dès leur plus jeune âge, les enfants se réfèrent aux adultes et à l’exemple que nous leur donnons. Les parents étant les premières et les plus importantes personnes de référence dans la vie d’un enfant, ils assument automatiquement le plus grand rôle de modèle. #parentsresponsables #exemplarité #tempsdecran #parentaliténumérique #parentalité #mediasnumeriques

[Lien avec l'intégralité de l'article Stéphane le calme, pour developpez.com, dans notre bio] [Résumé de l'article] Dans une époque où la perception de la réalité est de plus en plus façonnée par les réseaux sociaux, une récente étude menée par ID Crypt Global, basée sur les données du rapport Code of Practice on Disinformation de TrustLab, a mis en lumière une expansion préoccupante de la désinformation. Chaque jour, environ 1,5 milliard de publications mensongères sont diffusées sur des plateformes sociales. Cette prolifération pose un défi majeur à la #démocratie, à la santé publique et à la sécurité globale en propageant du contenu trompeur destiné à manipuler l'opinion publique. Facebook, avec ses 3 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, est identifié comme le plus grand vecteur de fausses nouvelles, générant à lui seul plus d'un milliard de ces publications chaque jour. X, bien qu'ayant une proportion moindre d'utilisateurs, se distingue par la plus haute fréquence d’acteurs de désinformation. Par contraste, LinkedIn, malgré une base d'utilisateurs professionnels, abrite un nombre significatif de ces acteurs, qui y produisent une quantité surprenante de désinformation. En comparaison, Instagram et YouTube se démarquent par une plus faible propagation de fausses informations, soulignant une meilleure gestion des contenus et une plus grande fiabilité. L'étude suggère que la #désinformation, loin d'être un phénomène isolé, est renforcée par l'accélération technologique du 21e siècle, avec des acteurs stratégiques exploitant aussi bien les médias traditionnels que les plateformes numériques pour induire en erreur. La situation est exacerbée par l'insuffisance des mesures de contrôle et la rapidité de propagation sur les réseaux, mettant en avant la nécessité pour les plateformes de renforcer leurs politiques contre la désinformation, tout en collaborant avec les entités gouvernementales et privées pour combattre ce fléau. LA bataille contre la désinformation reste un défi majeur qui requiert une réponse coordonnée à l'échelle mondiale. #luttecontreladésinformation #réseauxsociauxresponsables #fakenews #vérificationdesfaits #reseauxsociaux

[Lien avec l'intégralité de l'article de Claude Poissenot, Enseignant-chercheur à l'IUT Nancy-Charlemagne et au Centre de Recherches sur les Médiations (CREM), Université de Lorraine, pour @theconversation.fr, dans notre bio] [Résumé de l'article] La multiplication des outils numériques a entraîné une diffusion massive des images de soi, répondant à une norme sociale contemporaine. Chaque époque impose une définition de l'individu, et depuis les années 1960, nous sommes passés d'un individualisme abstrait à un individualisme concret et différencié. Les individus ne sont plus uniquement définis par leurs statuts, mais doivent se construire eux-mêmes. Dans ce contexte, le récit et la mise en scène de soi deviennent une norme sociale, démocratisée par le numérique. Les réseaux sociaux comme Instagram répondent à cette nécessité de se construire et d'être reconnu par les autres. La construction de soi se fait par deux modalités principales : le grand récit de soi unifiant la biographie complexe, et la prise en compte de l'expérience sensible de soi. Le récit de soi a besoin d'une validation des autres, notamment à travers les outils numériques qui rendent possible une mise en scène de soi. Le regard des autres transforme les éléments de notre vie en supports identitaires. La reconnaissance concerne aussi le mode de vie et l'apparence de soi, avec l'aide des filtres numériques. #BeReal se positionne en opposition à cette mise en scène, en proposant des photos "sans filtre" révélant qui nous sommes "vraiment". Les individus s'approprient leur identité par l'image qu'ils donnent à voir, devenant leur propre metteur en scène. Ce désir d'extimité permet de s'approprier son identité par l'exposition de son intimité. Les statuts ne suffisent plus à définir les relations, laissant place à des liens interpersonnels plus riches mais aussi plus fragiles. La vie dans la deuxième modernité est ainsi plus complexe, entre #récitdesoi #constructionidentitaire #NormeSociale #Individualisme #liensocial #réseauxsociaux

[Liens avec les 5 podcasts de l'émission @rts_vacarme, de la @radiotelevisionsuisse, ainsi qu'avec notre dossier thématique, dans notre bio] 👉 (1/5) Des larmes dans les cartables Le #harcèlement n'est pas un conflit classique entre élèves. C'est un phénomène répété sur une longue période, dans le cadre d'une relation asymétrique, et qui implique un.e intimidateur.ice, des témoins et une cible. Pour en décrypter les rouages, des jeunes montent une pièce de théâtre sous la direction d'Anne Jeger, psychologue de l'Association Via. 👉 (2/5) Tolérance zéro Depuis quelques années, les établissements scolaires des cantons romands utilisent la méthode dite de #préoccupationpartagée, une méthode non blâmante initiée dans les pays nordiques qui vise à casser la dynamique du harcèlement. La méthode permet de prévenir et de résoudre des situations critiques, avec de jeunes enfants comme avec les plus grands. 👉 (3/5) La loi de l'attente Ce mercredi après-midi, les ambassadeur.ices de la Conférence romande des enfants font le voyage au Parlement fédéral à Berne. Objectif: faire part de leurs recommandations face au harcèlement entre élèves et rencontrer la conseillère nationale Christine Bulliard-Marbach, convaincue de la nécessité de modifier le Code pénal, qui ne contient pas (encore) d'article spécifique au harcèlement. 👉 (4/5) Jouer avec le feu Au Collège de la Fontenelle, à Cernier, Daniel Favre intervient pendant deux heures auprès des élèves de 9e Harmos pour sensibiliser au #cyberharcèlement et #libererlaparole des élèves, qui peuvent le contacter par la suite. Pour ce responsable prévention de la criminalité de la @police.neuchateloise, cette mission représente un vrai sacerdoce. 👉 (5/5) La dernière lettre de Marion #MarionFraisse a un peu plus de 13 ans quand, le 13 février 2013 en début d'après-midi, elle met fin à ses jours. Sa mère, "pour donner du sens à ce qui n'en a pas", a raconté dans un livre le calvaire de sa fille. Aujourd'hui, Nora Fraisse se bat pour aider les victimes de #harcèlementscolaire. Via Reportage: Véronique Marti Réalisation: Jérôme Nussbaum Production: Marc Giouse